Dimanche de la Miséricorde et Neuvaine

Le Dimanche de la Miséricorde


Demande de Notre-Seigneur pour instituer la fête de la Miséricorde

" Ma fille, parle au monde entier de mon inconcevable Miséricorde. Je désire que la Fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma Miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s'approcheront de la source de ma miséricorde ; toute âme qui se confessera (dans les huit jours qui précèdent ou suivent ce Dimanche de la Miséricorde) et communiera, recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur peine ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoulent les grâces ; qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate. Ma miséricorde est si grande que, pendant toute l'éternité, aucun esprit, ni humain ni angélique ne saurait l'approfondir. Tout ce qui existe est sorti des entrailles de ma miséricorde. Chaque âme en relation avec moi, méditera mon amour et ma miséricorde durant toute l'éternité. La Fête de la Miséricorde est issue de mes entrailles, je désire qu'elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques. Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu'il ne se tournera pas vers la source de ma Miséricorde. " (Petit Journal, § 699).


Neuvaine à la Miséricorde divine :


cf. http://misericordedivine.fr/Neuvaine-a-la-misericorde

Neuvaine à la Miséricorde Divine que Jésus a demandé d’écrire et de réciter à sainte Faustine avant la Fête de la Miséricorde. On la commence le Vendredi Saint.
« Je désire que, durant ces neuf jours, tu amènes les âmes à la source de ma Miséricorde, afin qu’elles puisent force et soulagement, ainsi que toutes les grâces dont elles ont besoin dans les difficultés de la vie et particulièrement à l’heure de la mort. Chaque jour tu amèneras jusqu’à mon Cœur un nouveau groupe d’âmes et tu les plongeras dans l’immensité de ma Miséricorde. Et moi je les conduirai toutes dans la maison de mon Père. Tu feras cela dans cette vie et dans l’autre. Je ne refuserai rien à toute âme que tu amèneras à la source de ma Miséricorde. Et chaque jour tu imploreras mon Père, au nom de ma douloureuse Passion de t’accorder des grâces pour ces âmes-là. J’ai répondu : Jésus, je ne sais comment faire cette neuvaine, ni quelles âmes conduire tout d’abord à Votre Cœur Très Miséricordieux. Jésus me répondit qu’Il me dirait chaque jour quelles âmes je devais conduire à Son Cœur ».